Une mort paisible. (Libre)

Un loup marchait la tête basse, la queue touchent le sol, les oreilles coucher dans sont pelage, bien que les oiseaux chante il n’était pas d’humeur à être joyeux. Une fois de plus la mort l’avait frôlé sens vraiment l’attraper, beaucoup de loup sont tombé dans cette guerre mais pas lui. C’est frère et sœur, c’est ennemis, c’est amies sont tombé pour la bonne cause mais pas lui, ce sentiment de culpabilité de sens irait donc jamais ? Il aurait du succombé a c’est blessure, tomber, mourir, partir mais non comme a chaque fois la faucheuse na pas voulut de lui. Etait-il si mauvais pour ne pas accéder au paradis ? Tampi il choisirait l’enfer du moment qu’il quitte cette terre. Trash love n’arrivait pas a comprendre des loups bien meilleur que lui sont partis, des innocents qui ont croisé sa route sont soit mort soit disparu. Serait-il modi ? Sa famille est morte, sa louve et c’est louveteaux sont mort, a peine arrivait ici une guerre à éclater le peu de loup qu’il connaisse avait disparu ou succomber a leur blessure mais pas lui. Trash avait le corp meurtris de blessure de cicatrice difforme qui comme un souvenir le hanté a chaque pas qu’il fessait sont cœur saigner et c’est blessure le brûler. A quoi bon lutter contre sa destiner ? A quoi bon vouloir rester ici ? Rien ne le retient dans ce monde ou encore sur cette terre. A quoi bon prendre la fuite ? La mort croisse toujours sa route, la lui coupe quand il reprend espoir tout rechute dans le cao. Trash s’arrêtât quand le bruit de l’eau parvint a c’est oreilles, la noyade il n’avait jamais essayé, la privation de nourriture n’avait pas marchait, un combat a mort n’avait pas marchait, la souffrance qu’il ressent n’avait pas marché même cette guerre n’avait pas réussit à l’emporter alors pourquoi pas la noyade ? Sens accélère ou montrer un quelqu’un signe d’impatience il s’avança jusqu'à la surface lisse de l’eau. En quelque seconde il du ce rendre a l’évidence l’eau n’était pas assez profonde pour ce noyer. Mais déjà Trash percevait des bruit de pas dans sont dos, il resta face a l’eau fixent sont reflet, le reflet d’un loup détruit par la vie.

[pauvre loup, il fait pitié...]

Je faisais encore et encore le tour de ces terres que je connaissais par coeur, que je ne pourrais jamais me perdre même les yeux bandés. J'adorais ces terres et je savais très bien que j'y mourrais. D'un pas léger, la tête ailleurs je m'aventurais sur ces terres si... angéliques et paisibles. Bon, d'accord, peut-être que j'exagèrais un peu, car depuis que la guerre s'est calmé, on sent tout de même la fibrilité dans l'air. Il ne suffisait qu'une phrase, qu'une erreur, qu'un geste pour qu'on replonge dans ce sombre combat... Soudain, un bruit fit relever ma tête rousse, mon regard bleuté atterit sur un loup brun aux airs extrèmement malheureux. Son malheur se sentait partout dans cet endroit surnommé les "sources paradisiaques". Croyait-il trouver réconfort dans ce lieux si magnifique? Je ne pensais pas, il fixait son reflet dans la petite mare à ses pattes, sans bouger. Je savais qu'il m'avait entendu, pourquoi ne se retournait-il pas? Je m'avançai un peu. J'étais à quelques pas derrière lui, je peux aisément distinguer les marques recouvrant son corps. On voyait très bien qu'il n'avait pas eu la vie facile. Des cicatrices guérient et d'autres encore quasiment vives zébraient tout le long de ses membres, de ses flancs, de son échine. J'avais mal pour lui. Mais peut-être n'appréciera-t-il pas ma pitié envers lui? C'est pourquoi je décidai de rien laisser paraître. Je finis par me mettre à ses côtés, à son odeur, masqué par le sang, je sus qu'il faisait partit de ma meute, il ne me fera aucun mal, en tout cas, je le croyais. Enfin à sa hauteur, je peux voir son visage, son regard. Justement, dans ce dernier, le mort y règnait, on aurait dit un zombie, un loup n'ayant plus aucun but. Je soupirai, je ne savais quoi dire. Je fixai mon reflet dans l'eau. Une louve rousse au poitral blanc au regard anxieux. Je relevai la tête, échappant à mon regard. Un léger sourire se dessina sur mes lèvres, voulant paraître amical et chaleureuse.

« Magnifique endroit, non? »

Trash tourna lentement la tête vers le loup arrêté à côte de lui, qui en faite était une louve d’un couleur étrange. Roux ? Etonnait il fixa l’inconnu, un sourire timide vint lui barrer les lèvres, mais ce sentiment de culpabilité lui n’était pas partit et rester la bien encré en lui. Trash Love continua de regarder encore un instant sont reflet, la vie aller ainsi, il n’était finalement plus que l’ombre du loup qu’il avait était. Repenser au passé lui fit un peu mal mais pas autant que tout le reste. L’heure avait sonné, il le sentait au plus profond de sont âmes, encore une fois il devait partir fuir cette terre. Pour guérir, oublier, ce retrouver et peut être même ce ressourcer. Trash regarda soudainement la louve a coter de lui, s’apercevant tout d’un coup qu’elle était de la même meute que lui. Il regarda droit devant lui, avant de répondre a la louve rousse.

« Oui, magnifique. Je suis Trash Love des Illuminés »

Trash salua d’un bref mouvement de tête, d’ailleurs celle-ci lui fessait encore un peu mal, bien que certain cicatrice se soit refermer d’elle-même d’autre mettais du temps. Peut être aurait-il du voir un soigneur après cette guerre. Trash avait l’impression de glisser dans un gouffre sens fond, plus le temps passait plus un poids ce former en lui. A quoi bon lutter contre sa destiné ? Si il avait était lâche voila bien longtemp qu’il se serait jeter du haut d’une falaise, mais non il voulait mourir dignement tout de même.

Lorsque je m'approchais du mâle, ce dernier tourna légèrement la tête dans ma direction et m'adressa un faible sourire, plutôt timide, puis retourna à la contemplation de son reflet dans l'eau. Il sembla perdu dans ses pensées. Je finis par le sortir de ses réflexions en lui posant ma question. Il me répondit par l'affirmatif et se présenta. J'avais vu pile, il était de ma meute. Il se nommait Trash Love, une signification quelconque? Peut-être... Je souris, mais il ne le vit certainement pas.a Ma voix s'éleva une nouvelle fois pour briser le silence.

« Je suis Physalis, moi même Illuminé. »

Ne sachant quoi dire d'autre, je me tus. Je relevai ma tête et scruptai les alentours, tout était calme. Plutôt paisible comme endroit. Je soupirai et me retirai un peu. Je m'étendis un peu plus loin.

« Ça ne te tente pas de d'étendre un peu, tu me sembles exténué... »

[désolée, cest court...^^' ]